Histoire d'avion

Dans un avion, se trouve Georges W "cowboy du monde" Bush, Jean Paul II, un écolier, le grand émir d'arabie saoudite et Jacques Chirac.

L'avion tombe en panne et va se cracher. Les pilotes ont déjà sautés avec leurs parachutes. Le problème est qu'il reste 4 parachutes pour les 05.

Chirac dit : Je suis le président des français, je dois encore faire des conneries pour que le peuple se moque de moi. Il prend un parachute et saute.

L'Emir prend un parachute en disant : je suis à la tête de la plus grande réserve de pétrôle, les pays riches ont besoins de moi. Il saute à son tour.

Le cowboy prend un sac et dit : Je suis le sauveur du monde, je dois être sauvé pour continuer à faire rêgner la loi américaine dans le monde. Et il saute.

Il ne reste que le pape et l'écolier.

Le pape dit alors à l'enfant : Prend le dernier parachute, j'ai accompli ma vie, je suis rester humble malgré mes fonctions et toi tu dois avoir la chance de vivre encore de nombreuses années.

Là, l'écolier dit : Oh non, votre sainteté, vous pouvez prendre aussi le parachute, Monsieur Bush a pris mon cartable.
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Un avion de ligne tombe dans l'eau en plein Pacifique Sud.

Trois survivants seulement : le pilote, un steward et une hôtesse.
Ils s'accrochent aux débris qui flottent. Après avoir dérivé pendant
une semaine, ils arrivent sur une île totalement déserte.

Au bout de quelques jours, ils commencent à comprendre qu'ils ne
seront jamais secourus. La vie s'organise. Ils se construisent une
cabane.

La nature généreuse leur fournit viande, fruits, eau fraîche.

Ils sont beaux, jeunes...

Après 1 mois, l'hôtesse se décide à parler aux deux autres :

Écoutez, nous sommes seuls... peut-être pour toujours.

Nous nous sommes toujours respectés, nous avons notre intimité, tout est très chouette...

Mais je sens que nous souffrons d'un certain manque.

Je sais que vous n'osez pas en parler, alors je le dis moi-même : je suis d'accord.

Il suffit de s'arranger, par exemple, toi les jours pairs et toi les
jours impairs.
S'il y a le moindre problème, on en parle.

Enchantés d'avoir pu en = parler et de s'être organisé, ils passent des semaines fabuleuses.

Chacun à son tour, dans un respect mutuel et une attente exemplaire l'un les jours pairs, l'autre les jours impairs.

Malheureusement, après deux mois, la fille attrape un virus foudroyant et meurt...

Les deux autres sont terriblement tristes, mais la vie se réorganise...

Au bout d'un mois, l'un des deux s'adresse à l'autre :
Écoute vieux, le temps passe, c'est dur pour toi comme pour moi.
Alors autant en parler. Je suis jeune, je suis en manque, ça ne peut pas durer comme ça.
Qu'est-ce que tu en penses ?

L'autre le remercie d'avoir osé en parler et tout de suite le rassure en lui disant que c'est la même chose pour lui.

Tu penses comme moi alors

Oui, je suis d'accord, et si ça ne va pas on en parle.

D'accord, comment on fait? Toi les jours pairs et moi les jours impairs?

D'accord, on essaie.

Ils passent des semaines formidables, mais un soir, l'un des deux dit à l'autre :

Écoute, on a dit que si ça n'allait pas on en parlait. Eh bien je trouve que ça ne va plus.
On est seuls, on est jeunes d'accord, mais ce qu'on fait me gène, c'est contre nature.

Tu me rassures dit l'autre, j'allais aussi t'en parler. J'aimerais qu'on arrête.
De toutes façons les sensations ne sont pas les mêmes qu'avant...

Tu es d'accord alors

Oui et toi

Oui.

Bon... alors... on l'enterre

La permière est bonne.

La deuxième, ça a pas trop de classe mouaaaaaarf!